19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 19:43

 Nathalie Arthaud. 42 ans déjà. Prof d'économie à Aubervilliers (93). Ses élèves peuvent se
 lancer dans l'économie de marché sans souci ! Mais d'abord, elle double la stArlette Laguiller,

 qui suffisait pourtant à un exemplaire.

 

Et elle me fait penser au héros du film canadien "Le Trotski" (2010), qui se croit  réincarnation de Léon Davidovitch lequel ne croyait pas à la métempsycose ! Il ne croyait pas davantage au populisme geignard et sectaire que prêche "Lutte ouvrière", mouvement d'ailleurs fondé sur un "non" à Trotski et à sa IVe Internationale, oeuvre principale de sa vie, disait-il !

 

Nathalie-Arthaudjpg.jpg

L'atout charme de l'Extrême-gauche

Candidate à la présidentielle 2012, les sondages (déc. 2011) promettent à Nathalie moins de 0,5 % (et 43 % du vote ouvrier à Le Pen). Elle rejette donc ces sondages et leur préfère "la vraie vie", où elle a récolté 0,84 % (européennes 2009). Je la regarde se démener à la télé, en admirant le "média training" premier choix que lui a offert sa secte : un sourire douloureux se
 superpose toutes les trois minutes à sa gueule en biais et à ses regards torves.

 

La télé ? Voici ce qu'elle en dit sur son blog fin 2011 :
 « Sur mon agenda :
 samedi 17 décembre à 15h00 Meeting : Angoulême
 dimanche 18 décembre à 23h00 France 3 national : Soir 3
 mercredi 21 décembre à 19h10 BFM-TV : Le Journal
 jeudi 22 décembre à 08h20 France Inter : La Matinale
 vendredi 23 décembre à 08h15 Radio Classique : Journal »
 
En une semaine, elle n'assure donc qu'une fois sa promotion par ses propres moyens. Les médias bourgeois et gouvernementaux s'en occupent tous les autres jours. Ils ne lui vendent pas la corde pour les pendre, comme le prédisait Lénine. Ils lui en font cadeau ! N'est-ce pas étrange ?

 

A moins, bien sûr, de penser qu'ils font la pub d'un personnage qui ridiculise et enfonce le
 mouvement  ouvrier.

 

Patrick Gofman, journaliste et écrivain

 

 

Dico des Emmerdeuses 

http://www.amazon.fr/gp/product/2733912011
 

"Bonnes feuilles" de son prochain livre, le "Dictionnaire des Emmerdeuses", à
 paraître en avril 2012 aux éditions Grancher.

Partager cet article
Repost0
Published by Aubervilliersblog, le blog des frontistes d'Auber. - dans Aubervilliers - la commune

Présentation

  • : Aubervilliersblog, le blog frontiste
  • : Un blog d'information sur la commune d'Aubervilliers
  • Contact

Profil

  • Aubervilliersblog, le blog des frontistes d'Auber

Nous contacter ?

Notre @mail : fn.aubervilliers@gmail.com 

 

La fédération de Seine-Saint-Denis :


Courriel : fn93@frontnational.com

Téléphone : 06-65-86-46-93

Adresse postale :

Front National de Seine-Saint-Denis

BP 40013

93151 LE BLANC MESNIL Cedex



Recherche

Musique qui adoucit les moeurs

Johnny+Cash++June+Carter+Cash+JohnnyCashJuneCarter

Ton devoir c'est militer !

Radios des nuits de collages

courtoisie.jpeg

 

    europa radioF

Gilles Clavel - FN 93

 

 

Présentation du  secrétaire départemental

 du FN sur la Seine-Saint-Denis, Gilles Clavel

 

 gillesclavel.jpg

 

Gilles CLAVEL 

 

Né le 08 juin 1964 à AUBERVILLIERS.

Marié à AUBERVILLIERS

 

Mes parents, mes frères et bon nombre de personnes de ma famille sont nées à AUBERVILLIERS.

J’ai toujours habité à DUGNY (à l’exception d’une petite escapade à AUBERVILLIERS de 1986 à 1988)

J’ai obtenu mon BAC F1 (Construction Mécanique) au lycée LE CORBUSIER d’AUBERVILLIERS en 1983.

J’y ai connu Marie-Pierre, qui partage ma vie, depuis 1983. Nous avons 2 enfants.

J’ai fait parti du Paris Aérospatiale Club de LA COURNEUVE (athlétisme / ski).

 

Au Rugby, j’ai porté le maillot de DRANCY. (ce dont je suis très fier !)

 

J’ai effectué mon service militaire du 03 janvier au 28 décembre 1984 et suite à un passage par les EOR de COETQUIDAN, j’’ai été affecté au 39e Groupement de Camp de SUIPPES où j’ai été, instructeur au 40E régiment d’artillerie. 

 

J’ai travaillé pour le FIGARO en 1985 où j’ai été temporairement détaché comme chauffeur de direction pour les services de Louis PAUWELS, sa fille Marie-Claire et pour Alain PEYREFITTE, ancien Ministre.

 

Ensuite, j’ai fait une formation pour devenir technicien de maintenance informatique par le GRETA (AULNAY sous BOIS) me permettant d’obtenir une équivalence BAC+2.

 

J’ai été salarié de 1986 à 2006, dont 15 ans à des postes de responsable d’équipes (chef de groupe, responsable de sites)

 

Depuis 4 ans, je suis « bénévole » car je participe au développement d’une TPE. J’ai beaucoup de contacts en France et en Russie, quelques uns en Pologne. J’apprends à parler russe.

 

En ce qui concerne la politique, je suis également « bénévole ». J’ai participé à la prise de la mairie de DUGNY aux communistes, en 1989, (en soutenant, André VEYSSIERE à l’époque RPR).

 

Mais je soutiens le Front National depuis 1995 ! Parmi mes amis, je compte de nombreux sympathisants et/ou adhérents sur toute la France.

 

De 2001 à 2008, je suis devenu Conseiller Municipal, Divers Droite, car pas question pour moi de «carburer» pour l’UMP. Mes missions ont été :

- Elu membre de la commission de sécurité et de prévention

- Elu administrateur représentant la Municipalité, au Club Gaston DUTOUR (Foyer des anciens)

- Elu représentant la Municipalité, aux écoles

- Elu représentant la Municipalité, au CTP (comité technique paritaire)

 

 

Plus récemment, mécontent de la politique du gouvernement, j’ai soutenu Julien SANCHEZ à Chelles en 2009 et bien-sûr j’ai suivi attentivement le parcours de Marie-Christine ARNAUTU en Ile de France grâce à la relation de confiance et d’amitié que j’entretiens avec Alexandre SIMONNOT.

 

J’ai été candidat sur la liste FN de la Seine Saint-Denis, aux élections régionales, adjoint d’Alexandre SIMONNOT sur le 93, avant de prendre depuis le 04 octobre dernier, le poste de chargé de mission départemental pour la Seine Saint-Denis.

 

Je veux le meilleur pour mes enfants, nés et grandissant dans le 93.

Je veux le meilleur pour les générations à venir.

 

John Ruskin a écrit : « Ce que nous pensons, ou ce que nous savons, ou ce que nous croyons, a peu d’importance … La seule chose qui compte, c’est ce que nous faisons. »

 

Frontiste !

On peut penser ce que l'on veut – même éventuellement le plus grand mal - du FN, de son « programme », de ses « cadres » et de ses « militants », mais il y a une chose qui est certaine et indiscutable: s'affirmer « lepéniste » est un vrai acte de courage social, autrement plus couillu que toutes les autres postures « anti-système »

Chacun peut en faire l'expérience: déclarez que vous êtes « lepéniste » au cours d'un dîner, même le plus super réac des bois, et observez avec attention la gueule des convives. Tout à coup, on n'est plus entre gens de bonnes familles en appelant à Pascal et De Maistre pour pleurnicher – avec humour, détachement et finesse - sur le monde tel qu'il ne va pas: un putain de chauffeur de taxi s'est invité à la fête!

Tout le reste... national-catholique, royco, gibelin, archéo-futuriste, néo-droitier, libéral-conservateur, bonapartiste, national-républicain, légitimiste évolien, tradi-nietzschéen, futuriste orthodoxe, situationniste nazi, pinocheto-reaganien, révolutionnaire conservateur, chrétien solaire, pagano-partouzard, anti-moderne déconstructiviste .. ca peut se discuter, c'est « intéressant », « troublant », « intriguant », « littéraire », « artiste »...

Mais « lepéniste » ça pue la sueur, le Pas-de-calais, les colleurs d'affiches à Aubervilliers, la fête à neuneu, les vieux médaillés qui sentent le pipi, l'ex-coco du 93 à front bas, le comptoir de PMU, l'humilié du RER et le licencié de chez Renault, bref ce « populo » de saine-saint-Denis qu'on aime surtout dans les films de genre de Duvivier.

Pas vraiment l'anticonformisme glamour et délicieusement cultivé qui va permettre de choper. Vraiment pas de quoi faire mouiller la sorbonnarde qui voit dans Sophocle la dernier rempart de l'Europe ni la catho-coquine qui « aiment les arabes car ils sont ses frères en Christ » mais à condition qu'ils ne l'approchent pas trop aux Planches ou au Carré.

« Lepéniste », c'est même, je dois l'avouer, nettement plus stigmatisant que « fasciste « , car, d'une part, « fasciste » personne ne sait – en France- exactement ce que cela veut dire et que, d'autre part, on attribue aisément à cette « déviance » une complaisante étiquette « romantico-cinglée ».

Alors si le grand jeu est de se mesurer la bite à l'aune du « rebelle » qui « prend des risques », les « lepénistes » ont une très nette longueur d'avance.